dimanche, mai 26, 2013

Réponse à Monsieur Dotter.



Vous m'avez attaqué directement et personnellement dans une «Tribune libre» du dernier numéro du GUEB, la revue municipale de la Ville de Guebwiller. Sans doute vous y croyez vous drôle.Vous n'y êtes que risible.

Vous ironisez d'abord sur mes relations d'amitié avec Denis Rebmann en pensant certainement l'atteindre. Je ne me permets pas d'ironiser sur celles que vous paraissez entretenir avec M Bingert.

Vous prétendez ensuite, de façon cinglante croyez-vous, tailler en pièce «mes beaux projets» culturels.
Je note simplement que tous les chiffres que vous donnez sont faux et vous le savez: cela s'appelle mentir. Vous appuyez ensuite votre absence d'argumentation sur ces chiffres mensongers, cela s'appelle faire preuve de malhonnêteté intellectuelle.
Rien que cela vous disqualifie.
Je relève accessoirement et au passage la pauvreté et les déficiences de votre écriture alors que vous prétendez me donner des leçons de culture.

Vous ironisez encore sur ma personne et mon ancien métier. Je vous fais observer que je n'ai jamais fait de même sur la vôtre pas plus que sur votre métier d'horloger-bijoutier.

Et vous terminez par une formule éculée que vous voulez décisive votre «règlement de comptes» avec moi. J'avoue ne rien comprendre. Sans doute en effet ne réglez vous de comptes qu'avec vous même. «Usse fix, inne nix»: je ne vous le fais pas dire.

Ne comptez pas sur moi pour entretenir la polémique. Je ne tomberai pas dans le piège grossier que vous me tendez avec votre comparse habituel. Nous n'avons sans doute pas la même manière de concevoir l'action politique. Polémiquer ne m'intéresse pas. Je n'en ai pas besoin pour exister. J'ai bien mieux à faire.


Bernard Laplagne